La revue Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux est historiquement la première revue de thérapie familiale à être parue en français. Elle souhaite répondre à trois types de préoccupations :
ouvrir un débat théorique et technique sur les pratiques en thérapie familiale ;
élargir ce débat à ceux qui, de différentes manières, questionnent les institutions et les pratiques actuelles dans le champ de la santé mentale ;
offrir au public francophone des traductions de documents essentiels pour la compréhension et l'évolution des thérapies familiales.
Les Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux consacrent chacun de leurs numéros à un thème spécifique et tentent, dans la mesure du possible, d'inclure des travaux provenant de champs connexes aux thérapies familiales.
Psychotropes, revue internationale des toxicomanies, traite des substances psychotropes, de leurs usages et des dépendances qui en découlent.
Ouverte aux diverses approches concernant les dépendances - clinique, épidémiologique, historique, sociologique, anthropologique, économique - Psychotropes a pourtant pour axe central l'étude de l'usage et de l'abus des « drogues ». Elle rend compte des grands courants de pensée mais également de l'extrême diversité des pratiques suscitées à travers le monde par l'effort de recherche, de prévention et de soin.
Il s'agit d'une revue à comité de lecture « peer reviewed ».
La Revue Internationale de Philosophie a été fondée en 1938 avec, entre autres, le soutien de Karl Popper et de Bertrand Russell. Elle a été dirigée par Chaïm Perelman jusqu'à sa mort, en 1984, et elle est depuis lors, entre les mains de Michel Meyer.
Le but de la Revue n'est pas seulement de célébrer par des numéros spéciaux les dates anniversaires des grands philosophes et de leurs oeuvres, mais aussi de traiter de tous les thèmes qui retiennent l'attention de la philosophie: la violence, la religion, le théâtre, le roman, l'histoire, la politique, la bioéthique, la logique, l'épistémologie, la rationalité, le cinéma ou en général, l'esthétique, parmi d'autres sujets.
Les plus grands philosophes contemporains ont été honorés par la Revue, et y ont même souvent contribué, de Popper à Foucault et à Sartre, de Carnap à Derrida, de Bourdieu à Putnam et à Dworkin, de Gadamer à Rawls, Habermas ou Searle.
Ainsi, la Revue Internationale de Philosophie publie chaque fois des volumes qui traitent des sujets ou des auteurs différents, en plusieurs langues le plus souvent, mais surtout en français et en anglais. Les auteurs sont invités par une personnalité marquante du domaine traité, qui a la responsabilité du volume.
La Revue Internationale de Philosophie a été fondée en 1938 avec, entre autres, le soutien de Karl Popper et de Bertrand Russell. Elle a été dirigée par Chaïm Perelman jusqu'à sa mort, en 1984, et elle est depuis lors, entre les mains de Michel Meyer.
Le but de la Revue n'est pas seulement de célébrer par des numéros spéciaux les dates anniversaires des grands philosophes et de leurs oeuvres, mais aussi de traiter de tous les thèmes qui retiennent l'attention de la philosophie: la violence, la religion, le théâtre, le roman, l'histoire, la politique, la bioéthique, la logique, l'épistémologie, la rationalité, le cinéma ou en général, l'esthétique, parmi d'autres sujets.
Les plus grands philosophes contemporains ont été honorés par la Revue, et y ont même souvent contribué, de Popper à Foucault et à Sartre, de Carnap à Derrida, de Bourdieu à Putnam et à Dworkin, de Gadamer à Rawls, Habermas ou Searle.
Ainsi, la Revue Internationale de Philosophie publie chaque fois des volumes qui traitent des sujets ou des auteurs différents, en plusieurs langues le plus souvent, mais surtout en français et en anglais. Les auteurs sont invités par une personnalité marquante du domaine traité, qui a la responsabilité du volume.
La Revue Internationale de Philosophie a été fondée en 1938 avec, entre autres, le soutien de Karl Popper et de Bertrand Russell. Elle a été dirigée par Chaïm Perelman jusqu'à sa mort, en 1984, et elle est depuis lors, entre les mains de Michel Meyer.
Le but de la Revue n'est pas seulement de célébrer par des numéros spéciaux les dates anniversaires des grands philosophes et de leurs oeuvres, mais aussi de traiter de tous les thèmes qui retiennent l'attention de la philosophie: la violence, la religion, le théâtre, le roman, l'histoire, la politique, la bioéthique, la logique, l'épistémologie, la rationalité, le cinéma ou en général, l'esthétique, parmi d'autres sujets.
Les plus grands philosophes contemporains ont été honorés par la Revue, et y ont même souvent contribué, de Popper à Foucault et à Sartre, de Carnap à Derrida, de Bourdieu à Putnam et à Dworkin, de Gadamer à Rawls, Habermas ou Searle.
Ainsi, la Revue Internationale de Philosophie publie chaque fois des volumes qui traitent des sujets ou des auteurs différents, en plusieurs langues le plus souvent, mais surtout en français et en anglais. Les auteurs sont invités par une personnalité marquante du domaine traité, qui a la responsabilité du volume.
Participer à la diffusion de travaux universitaires en science politique ; contribuer au débat public en confrontant les thèmes qui y sont débattus à des recherches empiriques ; intervenir dans les controverses qui traversent les sciences sociales ; nourrir le dialogue entre ces dernières, les disciplines historiques et la science politique : ce sont là les principales ambitions de Politix.
En vingt ans, cette revue, animée par des chercheurs et des universitaires, est devenue l'une des revues de référence dans son champ académique.
En permettant à de jeunes auteurs de présenter les résultats de leurs recherches, en s'ouvrant à des travaux novateurs intéressés par la dimension politique des phénomènes sociaux, Politix entend renouveler les thèmes abordés par la science politique et décloisonner ainsi la discipline dans la perspective d'un véritable débat interdisciplinaire.
La Revue Internationale de Philosophie a été fondée en 1938 avec, entre autres, le soutien de Karl Popper et de Bertrand Russell. Elle a été dirigée par Chaïm Perelman jusqu'à sa mort, en 1984, et elle est depuis lors, entre les mains de Michel Meyer.
Le but de la Revue n'est pas seulement de célébrer par des numéros spéciaux les dates anniversaires des grands philosophes et de leurs oeuvres, mais aussi de traiter de tous les thèmes qui retiennent l'attention de la philosophie: la violence, la religion, le théâtre, le roman, l'histoire, la politique, la bioéthique, la logique, l'épistémologie, la rationalité, le cinéma ou en général, l'esthétique, parmi d'autres sujets.
Les plus grands philosophes contemporains ont été honorés par la Revue, et y ont même souvent contribué, de Popper à Foucault et à Sartre, de Carnap à Derrida, de Bourdieu à Putnam et à Dworkin, de Gadamer à Rawls, Habermas ou Searle.
Ainsi, la Revue Internationale de Philosophie publie chaque fois des volumes qui traitent des sujets ou des auteurs différents, en plusieurs langues le plus souvent, mais surtout en français et en anglais. Les auteurs sont invités par une personnalité marquante du domaine traité, qui a la responsabilité du volume.
La Revue Internationale de Philosophie a été fondée en 1938 avec, entre autres, le soutien de Karl Popper et de Bertrand Russell. Elle a été dirigée par Chaïm Perelman jusqu'à sa mort, en 1984, et elle est depuis lors, entre les mains de Michel Meyer.
Le but de la Revue n'est pas seulement de célébrer par des numéros spéciaux les dates anniversaires des grands philosophes et de leurs oeuvres, mais aussi de traiter de tous les thèmes qui retiennent l'attention de la philosophie: la violence, la religion, le théâtre, le roman, l'histoire, la politique, la bioéthique, la logique, l'épistémologie, la rationalité, le cinéma ou en général, l'esthétique, parmi d'autres sujets.
Les plus grands philosophes contemporains ont été honorés par la Revue, et y ont même souvent contribué, de Popper à Foucault et à Sartre, de Carnap à Derrida, de Bourdieu à Putnam et à Dworkin, de Gadamer à Rawls, Habermas ou Searle.
Ainsi, la Revue Internationale de Philosophie publie chaque fois des volumes qui traitent des sujets ou des auteurs différents, en plusieurs langues le plus souvent, mais surtout en français et en anglais. Les auteurs sont invités par une personnalité marquante du domaine traité, qui a la responsabilité du volume.
La revue STAPS est considérée comme revue « qualifiante » par le CNU de la section 74 (STAPS). Son récent passage dans la catégorie Q3 sur le portail ScimagoJR (rubrique « Social sciences ») devrait bientôt s'accompagner d'un nouveau classement dans d'autres rubriques (« History », « Education », « Sports Science », etc.). Le processus d'indexation de la revue auprès de l'ISI Web of Knowledge est aussi en cours. L'augmentation constante et conséquente des consultations et téléchargements d'articles (65 000 en 2019) signale la reconnaissance de la revue au plan national comme international et la « surface » de celle-ci.
Depuis plus de 20 ans et à travers presque une centaine de parutions, la revue Sociétés propose un espace interdisciplinaire ouvert pour les sciences humaines et sociales.
Résolument orientée vers les collaborations internationales, Sociétés s'est fait à la fois l'écho des discussions sur l'épistémologie des sciences sociales, ainsi que des questionnements de terrains et de phénomènes émergents.
Une part importante est donnée aux auteurs étrangers, notamment du Brésil, de la Corée, des États-Unis, d'Italie, d'Allemagne...
Les thématiques de la sociologie de l'imaginaire et du quotidien y tiennent une part importante.
La revue est composée d'un dossier coordonné, de marges et d'un certain nombre de recensions sur les activités, travaux et publications de langue française ou étrangère.
Le comité de lecture - auquel participent E.Morin, M.Maffesoli, P.Watier, A.Gras... - a choisi de publier des textes historiques et parfois inédits (Simmel, Guyau, Durkheim...), des auteurs contemporains (Baudrillard, Ferrarotti, Fabbri...) ainsi que de jeunes chercheurs.Depuis plus de 20 ans et à travers presque une centaine de parutions, la revue Sociétés propose un espace interdisciplinaire ouvert pour les sciences humaines et sociales.
Résolument orientée vers les collaborations internationales, Sociétés s'est fait à la fois l'écho des discussions sur l'épistémologie des sciences sociales, ainsi que des questionnements de terrains et de phénomènes émergents.
Une part importante est donnée aux auteurs étrangers, notamment du Brésil, de la Corée, des États-Unis, d'Italie, d'Allemagne...
Les thématiques de la sociologie de l'imaginaire et du quotidien y tiennent une part importante.
La revue est composée d'un dossier coordonné, de marges et d'un certain nombre de recensions sur les activités, travaux et publications de langue française ou étrangère.
Le comité de lecture - auquel participent E.Morin, M.Maffesoli, P.Watier, A.Gras... - a choisi de publier des textes historiques et parfois inédits (Simmel, Guyau, Durkheim...), des auteurs contemporains (Baudrillard, Ferrarotti, Fabbri...) ainsi que de jeunes chercheurs.
La revue Pensée plurielle a pour but la création d'un espace d'analyses et de confrontations des pratiques des différents acteurs du champ de l'intervention sociale. Par ce terme, il faut entendre la quotidienneté des acteurs travaillant le « lien social », les intervenants professionnels et bénévoles, mais aussi celle des personnes en rupture de lien ou plus largement les destinataires de ce travail.
Fondée en 2004, la revue Négociations a pour ambition d'instruire la question de la négociation dans la diversité de ses dimensions, en favorisant la confrontation disciplinaire et en faisant se rejoindre plusieurs traditions d'étude.
D'où :
une revue interdisciplinaire mobilisant les divers regards des sciences humaines et sociales (psychologie, sociologie, philosophie, économie, relations industrielles, sciences juridiques, sciences politiques, histoire, etc.) ;
une revue francophone (Belgique, France, Québec, Suisse, etc.), susceptible de jouer un rôle d'animation et de diffusion scientifique dans nos diverses communautés, mais à vocation internationale dans ses contributions (ouverture aux auteur.e.s anglo-saxon.e.s et/ou non francophones) ;
une revue ouverte sur l'expérience de terrain, destinée tant aux cadres et aux praticien.ne.s qu'aux chercheur.se.s et aux enseignant.e.s, s'inscrivant au carrefour de différentes traditions académiques ou culturelles et proposant des lectures originales des ordres sociaux négociés ;
une revue d'excellence universitaire, offrant à ses lecteurs un cadre de réflexion stimulant mais soucieuse de clarté et de pédagogie.
Fondée en 2004, la revue Négociations a pour ambition d'instruire la question de la négociation dans la diversité de ses dimensions, en favorisant la confrontation disciplinaire et en faisant se rejoindre plusieurs traditions d'étude.
D'où :
une revue interdisciplinaire mobilisant les divers regards des sciences humaines et sociales (psychologie, sociologie, philosophie, économie, relations industrielles, sciences juridiques, sciences politiques, histoire, etc.) ;
une revue francophone (Belgique, France, Québec, Suisse, etc.), susceptible de jouer un rôle d'animation et de diffusion scientifique dans nos diverses communautés, mais à vocation internationale dans ses contributions (ouverture aux auteur.e.s anglo-saxon.e.s et/ou non francophones) ;
une revue ouverte sur l'expérience de terrain, destinée tant aux cadres et aux praticien.ne.s qu'aux chercheur.se.s et aux enseignant.e.s, s'inscrivant au carrefour de différentes traditions académiques ou culturelles et proposant des lectures originales des ordres sociaux négociés ;
une revue d'excellence universitaire, offrant à ses lecteurs un cadre de réflexion stimulant mais soucieuse de clarté et de pédagogie.
Participer à la diffusion de travaux universitaires en science politique ; contribuer au débat public en confrontant les thèmes qui y sont débattus à des recherches empiriques ; intervenir dans les controverses qui traversent les sciences sociales ; nourrir le dialogue entre ces dernières, les disciplines historiques et la science politique : ce sont là les principales ambitions de Politix.
En vingt ans, cette revue, animée par des chercheurs et des universitaires, est devenue l'une des revues de référence dans son champ académique.
En permettant à de jeunes auteurs de présenter les résultats de leurs recherches, en s'ouvrant à des travaux novateurs intéressés par la dimension politique des phénomènes sociaux, Politix entend renouveler les thèmes abordés par la science politique et décloisonner ainsi la discipline dans la perspective d'un véritable débat interdisciplinaire.
La revue STAPS est considérée comme revue « qualifiante » par le CNU de la section 74 (STAPS). Son récent passage dans la catégorie Q3 sur le portail ScimagoJR (rubrique « Social sciences ») devrait bientôt s'accompagner d'un nouveau classement dans d'autres rubriques (« History », « Education », « Sports Science », etc.). Le processus d'indexation de la revue auprès de l'ISI Web of Knowledge est aussi en cours. L'augmentation constante et conséquente des consultations et téléchargements d'articles (65 000 en 2019) signale la reconnaissance de la revue au plan national comme international et la « surface » de celle-ci.
La participation citoyenne aux négociations et aux débats publics, ainsi qu'aux processus d'expertise et de décision, est devenue un objet central et transversal pour la recherche en sciences humaines et sociales, rendant nécessaire la création d'une revue susceptible de refléter la diversité de ces travaux. La revue Participations a l'ambition de mobiliser les regards et les apports des différentes disciplines concernées (sociologie, science politique, philosophie, histoire, urbanisme, géographie, psychologie sociale, sciences de l'information et de la communication, économie, etc.) sur cet objet commun qu'est la participation du public aux choix collectifs dans les démocraties contemporaines et ce sans exclusive théorique ou méthodologique. La création de cette revue s'inscrit dans une structuration de ce champ de recherches, comme l'atteste l'apparition d'un Groupement d'Intérêt Scientifique, intitulé « Participation du public, décision, démocratie participative », qui soutient activement la revue.
Participations est ouverte aux contributions tant théoriques qu'empiriques touchant à la démocratie participative, aux conditions de la délibération, aux transformations des formes et des pratiques de citoyenneté, à la structuration de l'espace public, à la gouvernance urbaine, à l'engagement du public dans les processus décisionnels, à la démocratie sociale, technique ou médicale, aux controverses sociotechniques ou à l'évaluation des outils et dispositifs participatifs. Revue francophone, Participations vise à permettre des échanges entre différentes communautés de chercheurs (France, Belgique, Québec, Suisse, etc.) tout en restant ouverte aux articles de chercheurs non-francophones.La participation citoyenne aux négociations et aux débats publics, ainsi qu'aux processus d'expertise et de décision, est devenue un objet central et transversal pour la recherche en sciences humaines et sociales, rendant nécessaire la création d'une revue susceptible de refléter la diversité de ces travaux. La revue Participations a l'ambition de mobiliser les regards et les apports des différentes disciplines concernées (sociologie, science politique, philosophie, histoire, urbanisme, géographie, psychologie sociale, sciences de l'information et de la communication, économie, etc.) sur cet objet commun qu'est la participation du public aux choix collectifs dans les démocraties contemporaines et ce sans exclusive théorique ou méthodologique. La création de cette revue s'inscrit dans une structuration de ce champ de recherches, comme l'atteste l'apparition d'un Groupement d'Intérêt Scientifique, intitulé « Participation du public, décision, démocratie participative », qui soutient activement la revue.
Participations est ouverte aux contributions tant théoriques qu'empiriques touchant à la démocratie participative, aux conditions de la délibération, aux transformations des formes et des pratiques de citoyenneté, à la structuration de l'espace public, à la gouvernance urbaine, à l'engagement du public dans les processus décisionnels, à la démocratie sociale, technique ou médicale, aux controverses sociotechniques ou à l'évaluation des outils et dispositifs participatifs. Revue francophone, Participations vise à permettre des échanges entre différentes communautés de chercheurs (France, Belgique, Québec, Suisse, etc.) tout en restant ouverte aux articles de chercheurs non-francophones.
La revue STAPS est considérée comme revue « qualifiante » par le CNU de la section 74 (STAPS). Son récent passage dans la catégorie Q3 sur le portail ScimagoJR (rubrique « Social sciences ») devrait bientôt s'accompagner d'un nouveau classement dans d'autres rubriques (« History », « Education », « Sports Science », etc.). Le processus d'indexation de la revue auprès de l'ISI Web of Knowledge est aussi en cours. L'augmentation constante et conséquente des consultations et téléchargements d'articles (65 000 en 2019) signale la reconnaissance de la revue au plan national comme international et la « surface » de celle-ci.
Les Cahiers de Psychologie Clinique sont une revue semestrielle interdisciplinaire ouverte à l'expression des diverses approches en psychologie clinique et en psychothérapie. Elle publie des articles cliniques, des articles de recherche, de description et d'évaluation de démarches psychothérapeutiques, de présentation et d'analyse des formations en santé mentale, des notes de lecture. Elle ouvre aussi ses colonnes à l'expression de réflexions sur les problèmes sociaux, éthiques ou politiques liés à l'exercice de la psychologie clinique.
Depuis plus de 20 ans et à travers presque une centaine de parutions, la revue Sociétés propose un espace interdisciplinaire ouvert pour les sciences humaines et sociales.
Résolument orientée vers les collaborations internationales, Sociétés s'est fait à la fois l'écho des discussions sur l'épistémologie des sciences sociales, ainsi que des questionnements de terrains et de phénomènes émergents.
Une part importante est donnée aux auteurs étrangers, notamment du Brésil, de la Corée, des États-Unis, d'Italie, d'Allemagne...
Les thématiques de la sociologie de l'imaginaire et du quotidien y tiennent une part importante.
La revue est composée d'un dossier coordonné, de marges et d'un certain nombre de recensions sur les activités, travaux et publications de langue française ou étrangère.
Le comité de lecture - auquel participent E.Morin, M.Maffesoli, P.Watier, A.Gras... - a choisi de publier des textes historiques et parfois inédits (Simmel, Guyau, Durkheim...), des auteurs contemporains (Baudrillard, Ferrarotti, Fabbri...) ainsi que de jeunes chercheurs.Depuis plus de 20 ans et à travers presque une centaine de parutions, la revue Sociétés propose un espace interdisciplinaire ouvert pour les sciences humaines et sociales.
Résolument orientée vers les collaborations internationales, Sociétés s'est fait à la fois l'écho des discussions sur l'épistémologie des sciences sociales, ainsi que des questionnements de terrains et de phénomènes émergents.
Une part importante est donnée aux auteurs étrangers, notamment du Brésil, de la Corée, des États-Unis, d'Italie, d'Allemagne...
Les thématiques de la sociologie de l'imaginaire et du quotidien y tiennent une part importante.
La revue est composée d'un dossier coordonné, de marges et d'un certain nombre de recensions sur les activités, travaux et publications de langue française ou étrangère.
Le comité de lecture - auquel participent E.Morin, M.Maffesoli, P.Watier, A.Gras... - a choisi de publier des textes historiques et parfois inédits (Simmel, Guyau, Durkheim...), des auteurs contemporains (Baudrillard, Ferrarotti, Fabbri...) ainsi que de jeunes chercheurs.
Éducation et Sociétés est une revue de sociologie de l'éducation qui publie des articles s'inscrivant clairement dans ce champ. Toutes les contributions sont à adresser au rédacteur en chef, Jean-Louis Derouet, par courriel à jeanlouis.derouet@ens-lyon.fr en document attaché numérisé sous format Word.
Psychotropes, revue internationale des toxicomanies, traite des substances psychotropes, de leurs usages et des dépendances qui en découlent.
Ouverte aux diverses approches concernant les dépendances - clinique, épidémiologique, historique, sociologique, anthropologique, économique - Psychotropes a pourtant pour axe central l'étude de l'usage et de l'abus des « drogues ». Elle rend compte des grands courants de pensée mais également de l'extrême diversité des pratiques suscitées à travers le monde par l'effort de recherche, de prévention et de soin.
Il s'agit d'une revue à comité de lecture « peer reviewed ».
La revue Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux est historiquement la première revue de thérapie familiale à être parue en français. Elle souhaite répondre à trois types de préoccupations :
ouvrir un débat théorique et technique sur les pratiques en thérapie familiale ;
élargir ce débat à ceux qui, de différentes manières, questionnent les institutions et les pratiques actuelles dans le champ de la santé mentale ;
offrir au public francophone des traductions de documents essentiels pour la compréhension et l'évolution des thérapies familiales.
Les Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux consacrent chacun de leurs numéros à un thème spécifique et tentent, dans la mesure du possible, d'inclure des travaux provenant de champs connexes aux thérapies familiales.
La revue Pensée plurielle a pour but la création d'un espace d'analyses et de confrontations des pratiques des différents acteurs du champ de l'intervention sociale. Par ce terme, il faut entendre la quotidienneté des acteurs travaillant le « lien social », les intervenants professionnels et bénévoles, mais aussi celle des personnes en rupture de lien ou plus largement les destinataires de ce travail.
Fondée en 2004, la revue Négociations a pour ambition d'instruire la question de la négociation dans la diversité de ses dimensions, en favorisant la confrontation disciplinaire et en faisant se rejoindre plusieurs traditions d'étude.
D'où :
une revue interdisciplinaire mobilisant les divers regards des sciences humaines et sociales (psychologie, sociologie, philosophie, économie, relations industrielles, sciences juridiques, sciences politiques, histoire, etc.) ;
une revue francophone (Belgique, France, Québec, Suisse, etc.), susceptible de jouer un rôle d'animation et de diffusion scientifique dans nos diverses communautés, mais à vocation internationale dans ses contributions (ouverture aux auteur.e.s anglo-saxon.e.s et/ou non francophones) ;
une revue ouverte sur l'expérience de terrain, destinée tant aux cadres et aux praticien.ne.s qu'aux chercheur.se.s et aux enseignant.e.s, s'inscrivant au carrefour de différentes traditions académiques ou culturelles et proposant des lectures originales des ordres sociaux négociés ;
une revue d'excellence universitaire, offrant à ses lecteurs un cadre de réflexion stimulant mais soucieuse de clarté et de pédagogie.
Fondée en 2004, la revue Négociations a pour ambition d'instruire la question de la négociation dans la diversité de ses dimensions, en favorisant la confrontation disciplinaire et en faisant se rejoindre plusieurs traditions d'étude.
D'où :
une revue interdisciplinaire mobilisant les divers regards des sciences humaines et sociales (psychologie, sociologie, philosophie, économie, relations industrielles, sciences juridiques, sciences politiques, histoire, etc.) ;
une revue francophone (Belgique, France, Québec, Suisse, etc.), susceptible de jouer un rôle d'animation et de diffusion scientifique dans nos diverses communautés, mais à vocation internationale dans ses contributions (ouverture aux auteur.e.s anglo-saxon.e.s et/ou non francophones) ;
une revue ouverte sur l'expérience de terrain, destinée tant aux cadres et aux praticien.ne.s qu'aux chercheur.se.s et aux enseignant.e.s, s'inscrivant au carrefour de différentes traditions académiques ou culturelles et proposant des lectures originales des ordres sociaux négociés ;
une revue d'excellence universitaire, offrant à ses lecteurs un cadre de réflexion stimulant mais soucieuse de clarté et de pédagogie.
Depuis plus de 20 ans et à travers presque une centaine de parutions, la revue Sociétés propose un espace interdisciplinaire ouvert pour les sciences humaines et sociales.
Résolument orientée vers les collaborations internationales, Sociétés s'est fait à la fois l'écho des discussions sur l'épistémologie des sciences sociales, ainsi que des questionnements de terrains et de phénomènes émergents.
Une part importante est donnée aux auteurs étrangers, notamment du Brésil, de la Corée, des États-Unis, d'Italie, d'Allemagne...
Les thématiques de la sociologie de l'imaginaire et du quotidien y tiennent une part importante.
La revue est composée d'un dossier coordonné, de marges et d'un certain nombre de recensions sur les activités, travaux et publications de langue française ou étrangère.
Le comité de lecture - auquel participent E.Morin, M.Maffesoli, P.Watier, A.Gras... - a choisi de publier des textes historiques et parfois inédits (Simmel, Guyau, Durkheim...), des auteurs contemporains (Baudrillard, Ferrarotti, Fabbri...) ainsi que de jeunes chercheurs.Depuis plus de 20 ans et à travers presque une centaine de parutions, la revue Sociétés propose un espace interdisciplinaire ouvert pour les sciences humaines et sociales.
Résolument orientée vers les collaborations internationales, Sociétés s'est fait à la fois l'écho des discussions sur l'épistémologie des sciences sociales, ainsi que des questionnements de terrains et de phénomènes émergents.
Une part importante est donnée aux auteurs étrangers, notamment du Brésil, de la Corée, des États-Unis, d'Italie, d'Allemagne...
Les thématiques de la sociologie de l'imaginaire et du quotidien y tiennent une part importante.
La revue est composée d'un dossier coordonné, de marges et d'un certain nombre de recensions sur les activités, travaux et publications de langue française ou étrangère.
Le comité de lecture - auquel participent E.Morin, M.Maffesoli, P.Watier, A.Gras... - a choisi de publier des textes historiques et parfois inédits (Simmel, Guyau, Durkheim...), des auteurs contemporains (Baudrillard, Ferrarotti, Fabbri...) ainsi que de jeunes chercheurs.