Une description de la plage codée sous le nom de Juno où se déroulèrent une partie des opérations du débarquement de juin 1944.
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Une description de la plage codée sous le nom de Sword où se déroulèrent une partie des opérations du débarquement de juin 1944.
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« Je l'ai retrouvée ! Quoi ? L'éternité : c'est la mer mêlée au soleil... » Cette citation d'Arthur Rimbaud nous livre la clef des carnets de bord de Michel Heger. Dès la première page, nous pénétrons dans le monde mystérieux, souvent méconnu, de la Marine nationale. De la remise du sabre, à l'École navale, jusqu'au dernier accostage de son bâtiment, sous toutes les latitudes, l'auteur nous entraîne dans une succession d'événements cocasses ou dramatiques, qui ont pour cadre Mururoa, le Tchad, le Liban, la Nouvelle-Calédonie, en passant par la Grande-Bretagne, le cercle arctique, le Canada ou les îles Marquises. Voici un livre témoignage tout en récits, construits comme des nouvelles, où chaque chapitre est un coup de projecteur - et un coup de coeur - sur les moments privilégiés d'un métier passionnant.
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Etape par étape, le récit de cette opération militaire qui permit de libérer Marseille et Toulon en dix jours.
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1931 : pose de la première tôle au Chantier de la Méditerranée à La Seyne. 1933 - Lancement, premiers essais en mer. 1936 : armement à Lorient, campagnes avec la Flotte de l'Atlantique. 1940 : raid éclair dans le Skagerrak avec l'Indomptable et le Triomphant. En route pour Dakar. 1942 : grand carénage à Casablanca. Atteint par un obus de 406 mm tiré par le cuirassé américain Uss Massachusetts. 1943 : réparation et modernisation à Boston. 1944 : en division avec le Fantasque et le Terrible-Atlantique, Anzio, Naples, Adriatique, mer Egée. Débarquement de Provence. Collision au large de Naples avec le Terrible. 1945 : réparation à La Ciotat. Reçoit l'étrave de l'Indomptable sabordé à Toulon. 1946 : mission du temps de paix. 1949 : mise en réserve à la base de Sidi Abdallah, en Tunisie, en compagnie de ses frères d'armes. 1951 : escorte le porte-avions Arromanches en Indochine. 1953 : sert à l'instruction des élèves officiers de l'École Navale à Lanvéoc Poulmic. 1965 : sert de brise-flot devant la base des Fusiliers Marins à Lorient. 1976 : la coque Q 359 est livrée aux ferrailleurs.
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Le destin fabuleux de Georges Cadoudal (1771-1804). Chef de la chouannerie bretonne, il participa au débarquement de Quiberon (1795) et fut impliqué dans l'attentat de la machine infernale contre Bonaparte en 1800...
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« C'est la nuit. Dès l'instant où je suis descendu au tunnel, dans le Commando de Rudi, jusqu'au jour où j'en sortirai, cinq mois plus tard, rien ne va plus marquer l'alternance du jour et de la nuit. C'est toujours la nuit (...) Les repères temporels n'existent plus, sauf les réveils à coups de gueule et à coups de gourdin qui nous jettent hors de nos grabats (...) Le spectacle quotidien des cadavres n'étonne plus, n'émeut plus. On s'est habitué à l'atroce... » Ce récit est celui d'un déporté qui a vécu près de deux ans au coeur de l'univers concentrationnaire, qui a connu la « longue nuit » du tunnel de Dora, l'usine souterraine d'où est sortie, comme d'un ventre monstrueux, l'arme secrète, la V2, cette arme extraordinaire, ce bijou technique qui aurait pu - encore - donner la victoire à Hitler. Ce témoignage est sans haine. Il veut combattre l'oubli et le mensonge. Il voudrait être, pour les jeunes d'aujourd'hui, un appel à être attentifs aux signes des temps, un appel à combattre pour la Paix, à construire un monde habitable.
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La Manche, d'abord zone occupée, puis au coeur des débarquements alliés, a subi de nombreuses pertes. Quatre ans de souffrance et de privations illustrés par de nombreuses photographies.
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Le Débarquement a réussi sur les côtes du Calvados. Rommel se prépare à rejeter les Alliés à la mer, quand, brutalement, Montgomery lance sa grande offensive à l'ouest de Caen. Désormais, Montgomery, maître du jeu, frappera de plus en plus fort, pour faire croire qu'il veut percer et atteindre Paris.
"Selon toute logique, les Allemands engageront de plus en plus de chars. Et, pendant ce temps, Bradley aura la main libre pour percer à Saint-Lô et foncer sur Avranches, ce qui permettra de faire avancer l'aile droite de notre armée, en utilisant Caen comme pivot."
Une fresque de photos inoubliables du champ de bataille pour la liberté de l'Europe.
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Une description de la plage codée sous le nom de Utah où se déroulèrent une partie des opérations du débarquement du 6 juin 1944.
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Une description historique des préparatifs militaires qui ont conduit au débarquement allié de 1944.
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Toute ville - et Rennes n'échappe pas à la règle - se transforme et se métamorphose. Chaque quartier, chaque coin de rue, chaque façade porte à la fois le sceau du passé, et la marque du présent.
Avec Alain-François Lesacher et Michel Ogier, vous pourrez comparer, dans cet ouvrage, les images d'hier et d'aujourd'hui. Vous découvrirez comment une ville évolue, sans pour autant renier son âme, et de quelle façon le bel « aujourd'hui » garde, en filigrane, la trace ténue d'un lointain passé.
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Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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L'histoire de la Normandie ne se résume pas à celle d'une province dans un cadre très bien délimité. Rollon et ses descendants sont le point de départ d'une aventure fabuleuse, qui conduira les Normands sur le trône d'Angleterre, en Italie du Sud, et jusqu'en Syrie. État puissant et prospère au Moyen Âge, rattaché ensuite à la France sous Philippe Auguste, la Normandie, foyer de civilisation, a su préserver, au cours des siècles, son originalité, qui en fait encore tout son charme aujourd'hui.
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Vannes doit son nom aux Vénètes, navigateurs celtes, que les galères de Jules César, par un jour sans vent, mettent à la raison (latine). Christianisée au Ve siècle par Saint Paterne, Vannes a pour chef, au IXe siècle, l'indépendant Nominoé. Mais elle doit subir la loi française, et c'est à Vannes, en 1532, que la Bretagne est rattachée à la France. La ville abrite un temps, au XVIIe siècle, l'indocile Parlement de Bretagne. À la Révolution, elle manifeste encore son esprit indépendant et conservateur à la fois.
L'histoire de Vannes est de premier choix. Architecture et musées en témoignent (maisons des XVe, XVIe et XVIIe siècles, cathédrale, musée de Château Gaillard...). Mais la préfecture du Morbihan ne s'en est pas tenu là (Aquarium, Palais des Arts, quartiers modernes...).
Blottie au fond du célèbre golfe, Vannes a paisiblement réalisé l'osmose de son passé et de son présent, garantissant ainsi son avenir.
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Par l'importance des forces navales, terrestres et aériennes déployées, le débarquement lancé le 6 juin 1944, au terme de longs mois de préparation, reste à coup sûr la plus impressionnante action combinée de tous les temps. La Bataille de Normandie s'est inscrite comme un temps fort dans la stratégie anglo-américaine pour la reconquête et la libération de l'Europe. Douze semaines d'engagements acharnés sur les plages, dans les haies du bocage ou dans les blés de la plaine de Caen vont décider du sort de la guerre à l'Ouest et précipiter la défaite du Troisième Reich. Au-delà de la simple description des opérations, La Normandie au coeur de la guerre analyse le contexte politique, militaire et civil dans lequel se sont déroulés le débarquement et la bataille de Normandie. Dans un style vivant, ce livre offre une vue aussi globale et complète que possible des faits en respectant les divers éclairages : celui des alliés comme celui des Allemands sans oublier celui des premiers témoins, les Normands eux-mêmes.
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« Ne craignons pas de généraliser, en estimant que le moindre village possède, ici, son clocher roman et, alentour, son manoir du XVe-XVIe siècle. C'est un plaisir constant pour le touriste et l'habitant.
« Les XVIIe et XVIIIe siècles apportèrent aussi leurs châteaux magnifiques, tels Montgeoffroy à Mazé, et Pignerolles à Saint-Barthélemy. Et le XIXe siècle construisit, en Anjou, de remarquables châteaux néogothiques...
« Les carrières d'extraction du tuffeau, qui percent parfois les collines en ramifications serrées, servent aujourd'hui de caves à vin, ainsi qu'à la culture industrielle du champignon de couche. Mais elles permirent la construction de ces demeures angevines si attrayantes, blanches ou ocrées, qui brillent au soleil, coiffées de leurs toits d'ardoise bleutée, sous un climat d'une douceur devenue proverbiale. »
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Plus que d'autres provinces peut-être, la Bretagne est la terre des monastères. Souvent nés aux portes de la légende, mais toujours ancrés dans l'Histoire, ils constituent l'une des clés de l'Armorique. Certains ne sont plus que des ruines, mais plusieurs sont encore en activité, et attirent chaque année des milliers de visiteurs.
André Legrand nous conte ici l'histoire de ces lieux enchantés, où souffle encore, venu du lointain Moyen Âge, l'esprit de l'une des grandes aventures de l'Occident chrétien.
Les Icono-Guides prennent le temps de flâner, de musarder, de s'attarder sur les paysages, les monuments et les hommes. Discrètes, les illustrations sont pourtant signées des meilleurs photographes : elles sont là pour éclairer le texte. Les Icono-Guides n'ont pas été conçus pour le seul éclat de l'été : ils cherchent à nous faire découvrir le charme secret de la France éternelle.
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La découverte de la baie du Mont-Saint-Michel : ses beautés et ses passions, ses tragédies et ses sortilèges.
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L'histoire maritime, comme toute histoire, est avant tout humaine : de Colbert comme de Duquesne, de Maurepas si injustement décrié comme de Suffren, de l'humble charpentier anonyme comme du célèbre ingénieur Sané, du puissant armateur malouin comme du modeste pêcheur, dépend le destin maritime de la France. De Colbert à la veille de la Révolution française, la continuité cahoteuse de la flotte de guerre finit par imposer un outil militaire performant au service d'un État enfin soucieux de son économie maritime, de la richesse de ses colonies, de l'entretien de ses gens de mer. À partir de recherches originales, Jean Meyer et Martine Acerra démontrent, à travers son histoire, que la Marine française n'a pas connu que des revers.
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Vingt-six messages personnels, lus à la radio de Londres dans la nuit du 5 au 6 juin 1944, préviennent la Résistance française du Débarquement des Alliés en Normandie.
Au bout de quatre années de lutte, la lumière de l'espoir illumine l'horizon. La paix n'est pas encore là. Du moins est-elle à portée de la main !
Quatre témoins notent, au fil des jours, sur des carnets, leurs impressions sur ces années terribles.
Un colonel américain, un chef d'escadrille anglais, un Maquisard français et une jeune femme qui vit dans la France occupée.
Chacun, à sa manière, raconte cette époque, et donne vie aux objets qui leur sont familiers. Près de deux mille. Miraculeusement sauvés de l'oubli par des collectionneurs, aussi enthousiastes qu'intransigeants, sur le chapitre de l'authenticité, témoignages muets - mais combien éloquents - par leur seule présence.
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Ils portent à terre le même uniforme, mais ce ne sont pas des marins comme les autres. Ils appartiennent à une spécialité - presque une confrérie - dont ils sont fiers, et dont ils gardent jalousement les traditions, les rites, les habitudes acquises au cours des longues veilles. Avec les sous-marins nucléaires, les sous-mariniers ont retrouvé les longues navigations silencieuses dans les profondeurs, des mois de croisières sans jamais faire surface, vivant en vase clos, le regard posé sur les cadrans des appareils de contrôle, l'oreille attentive aux bruits et aux échos venus de la mer, veillant sur la sécurité du pays, parfois détenant la formidable puissance de la dissuasion nucléaire. Contés en détail par un spécialiste qui a vécu leur vie, qui a connu les survivants des deux conflits mondiaux, qui a épluché les journaux de bord, voici les sous-mariniers pour la première fois regroupés dans un livre de synthèse qui se préoccupe uniquement des hommes. Hommes de fer dans des bateaux d'acier, « sur leur tombe ne fleurit pas la rose », dit une vieille chanson. Voici ceux des temps héroïques de 1914-1918, se battant contre les éléments avec des moteurs trop faibles et des coques peu étanches ; ceux de 1939-1945, engagés dans l'inhumaine bataille de l'Atlantique. Voici enfin nos sous-mariniers nucléaires, avec un bilan de la situation mondiale de ces unités, notamment russes, qui posent au monde tant de problèmes. À l'heure où la sécurité de la France repose sur les sous-marins nucléaires, il est intéressant de les connaître et, pour quelques heures, de partager leur veille.
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Même si Rouen n'a pas été aussi terriblement mutilée que Saint-Lô, Caen, Le Havre et tant de petites villes et villages de Normandie, la ville aux cent clochers se place, néanmoins, au rang des villes martyres, avec 110 hectares rasés, 1 600 morts, 25 000 sinistrés. Sa reconstruction a été une réussite, et a permis de conjurer le désastre. Cet album a, cependant, le devoir de rappeler la folie des hommes, qui frappa si durement notre ville et notre province.
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