Ce livre retrace l'histoire de la formation des noms de personnes en France, en se fondant sur la nature et l'évolution des formes. Il propose un regard sur les anciens modes de désignation des personnes, ainsi qu'une réflexion sur notre système anthroponymique. Un découpage chronologique et structurel rend l'exposé particulièrement accessible.
En analysant plusieurs contes merveilleux, ce livre montre clairement l'unité profonde de nos traditions populaires, leur cohérence, leur immense richesse.
Parmi les travaux contemporains en sémantique du langage ordinaire, le programme de Davidson se distingue par sa portée philosophique ; la théorie de la vérité que propose Davidson à titre de cadre sémantique s'épanouit en effet en une véritable philosophie du langage, connue sous le nom d'Interprétation radicale. Cet ouvrage tente une évaluation critique du programme de Davidson, à partir d'une question à la fois historique et conceptuelle : quels sont les rapports entre le projet d'une théorie de la vérité à la Tarski, et celui d'une sémantique formelle du langage ordinaire ?
Affronter directement les problèmes de la critique littéraire elle-même, et examiner, à la lumière de la sémiotique, quelques notions ou ensembles de notions couramment utilisées par les spécialistes de la littérature : point de vue, genre, style, intertextualité, figures de rhétorique, etc., tel est le but de cet ouvrage.
Parce que les systèmes linguistiques fonctionnent toujours dans des structures sociales, toute linguistique se conçoit aujourd'hui comme sociale. Aussi, le présent volume entend-il rendre compte de la démarche scientifique qui s'attache actuellement à confronter faits de langue et faits de société. Le domaine est vaste qui s'ouvre alors au chercheur : de la définition de la communauté linguistique aux réalités des sabirs et des créoles, en passant par les situations qui font la codification et la normalisation des langues de grande diffusion, celles qui font le statut des langues perdantes, celles d'unilinguisme, de bilinguisme ou de plurilinguisme dans les sociétés les plus et les moins complexes, etc. Entrent alors en jeu, à chaque fois, la dynamique interne propre à chacun des systèmes linguistiques, voire des changements perceptibles à tous les niveaux de ces systèmes.