Ecrit à la fin de savie, alors que Zweig a été contraint par les nazis de s'exiler au Brésil, c'est le récit poignant d'une addiction au jeu et de ses effets dévastateurs.
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Une seule fois, Mrs C. a cédé, surprise, à l'envie subite d'aimer un inconnu...
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Changer de regard sur la jeunesse. Les jeunes seraient « paresseux », « incultes », voire « égoïstes et individualistes ». J'ai entendu mille fois ces accusations à l'égard de la jeunesse : dans des dîners de famille, à la volée chez un commerçant ou portées par des éditorialistes remontés à la télévision. Ces jugements négatifs sont non seulement infondés, mais aussi délétères pour toute la société. Entre le chômage, la dégradation de la situation économique, la pandémie et l'urgence écologique, les jeunes doivent composer avec des paramètres inédits. De plus, les défauts qu'on leur prête sont souvent le symptôme d'une profonde incompréhension - d'un désintérêt ? - pour leurs préoccupations et leurs pratiques. De fait, que ce soit en entreprise, en politique ou dans les médias, les jeunes ont rarement voix au chapitre. C'est la raison pour laquelle j'ai voulu leur donner la parole, dans cette enquête afin de raconter les difficultés auxquelles ils font face et de montrer les solutions qu'ils proposent pour garder espoir en l'avenir. Car une chose est certaine : les jeunes ne correspondent pas aux clichés qui leur collent à la peau. Il est plus qu'urgent de changer de regard sur la jeunesse : la solidarité intergénérationnelle est indispensable pour faire face aux bouleversements qui nous menacent tous. Salomé Saqué a 27 ans. Elle est journaliste pour le média en ligne Blast, France 5 et Franceinfo.
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Il y a vingt ans, pour la première fois, on dénombrait plus de régimes démocratiques que de dictatures ; quelques années et une crise économique mondiale plus tard, les régimes autoritaires sont de nouveau plus nombreux. Comment les dictatures ont-elles fait pour prospérer après Staline, Hitler et Mao ? Pour asseoir leur pouvoir, les dictateurs classiques du XXe siècle utilisaient une arme : la terreur. Le XXIe siècle a vu surgir une nouvelle génération de dictateurs et d'autocrates (Lee Kwuan Yew, Fujimori, Poutine, Erdogan, Orban, etc.), les "spin dictators", qui exploitent les leviers de la politique démocratique et utilisent des formes plus discrètes de manipulation pour étendre leur emprise. Ce livre très informé raconte et décrypte ces nouvelles armes de la tyrannie.
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Les deux textes composant cet ouvrage constituent une présentation de la psychanalyse qui s'adresse d'abord aux non-spécialistes.
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Rendu célèbre par ses récits de voyage et son humour, l'Américain Bill Bryson entreprend dans ce nouveau livre le plus extraordinaire des périples : surpris d'apprendre qu'on pourrait acheter tous les composants chimiques de notre organisme pour cinq dollars dans une quincaillerie, il décide d'explorer le corps humain et d'en percer les secrets.
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Une majorité de femmes souffrent souvent, sans le savoir, de ne pas avoir la vie sexuelle qu'elles souhaitent : être à l'aise avec les sensations, pouvoir les ajuster à celles du partenaire, bénéficier ainsi des vertus reconstituantes du partage amoureux. Au croisement de la gynécologie, de la médecine chinoise, de la psychanalyse et de l'approche trans-générationnelle, le docteur Flaumenbaum, gynécologue et acupunctrice, s'appuie sur plus de trente ans d'expérience pour expliquer comment les femmes d'aujourd'hui construisent leur sexualité, la place qu'y tient la mère, pourquoi le plaisir ou même le désir sont si peu souvent au rendez-vous, et comment faire pour y remédier. Un livre qui devrait revigorer les hommes et dynamiser les femmes.
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Comment des jeunes femmes en majorité juives et slovaques survécurent à Auschwitz en y travaillant dans l'atelier de haute couture créé à l'été 1943 par Edwig Hss, l'épouse du commandant du camp, pour ses propres besoins et ceux d'autres femmes de SS (y compris dans l'élite berlinoise). Un témoignage d'autant plus saisissant qu'il mêle l'enfer concentrationnaire à l'existence dorée des geôliers, sous la plume d'une historienne de la mode. Et une enquête sur la façon dont l'aryanisation économique déstabilisa le secteur textile, pas seulement en Allemagne, et dont la récupération des affaires de déportés devint une véritable industrie de reconditionnement, au point qu'une vingtaine de trains remplis d'effets personnels repartaient quotidiennement d'Auschwitz.
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"On n'est pas un peintre tant qu'on n'a pas peint un gris." Ces mots de Cézanne, écrit Peter Sloterdijk, "mettent au défi de formuler une affirmation complémentaire : tant qu'on n'a pas pensé le gris, on n'est pas un philosophe". Ce nouvel essai relève le défi. Il en résulte un livre flamboyant à partir du gris, apparemment la couleur de l'indifférence, du neutre, de la tiédeur, mais qui contient en réalité toute l'histoire de la pensée, de l'art et du monde. Une réflexion magistrale sur les couleurs en politique, en philosophie et dans les arts, mais aussi dans la religion, et jusque dans la nature (éclipses, tempêtes, menace d'un hiver nucléaire).
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La reprise : un impensé social devenu le creuset des inégalités faites aux femmes
Comme son nom pourrait le laisser entendre, la reprise serait le simple fait de retrouver son activité professionnelle après l'arrêt nécessité par l'arrivée d'un nouvel enfant. Trop facile.
La reprise du travail après un congé maternité ou parental est pavée de difficultés aussi variées que colossales pour les femmes : problèmes de garde, monde du travail hostile voire discriminant à leur encontre, clashs au sein du couple, pression sur tous les plans, fatigue extrême, etc. Malgré tout, cette période n'est que très rarement pensée ou même considérée.
Les femmes paient pourtant cher le prix de leur parentalité : c'est bien à la reprise que les inégalités explosent au foyer - les mères assument 72 % des tâches domestiques et familiales - et que leurs salaires diminuent drastiquement - près de 40 % d'entre elles étant amenées à modifier leur activité.
Il est urgent d'analyser les causes systémiques de ces difficultés afin non seulement d'en corriger les injustices, mais aussi de faire baisser la culpabilité des mères qui pensent être seules responsables de leur sentiment d'échec au quotidien.
Après un licenciement économique survenu pendant son deuxième congé maternité, Thi Nhu An Pham a créé en 2021 le podcast « La Reprise » afin de sortir cette période du tabou, et de jeter une lumière collective et féministe sur cette étape pétrie de difficultés vécue de manière si solitaire par les mères.
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Ce « récit d'apprentissage » mêle témoignages de chantiers et réflexions théoriques sur le métier de charpentier et l'artisanat en général. Il questionne les vertus de la transmission dans une époque de disruption.
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Un huis clos sur la banquise ! Une fascinante histoire d'ambition, d'héroïsme et de survie en Antarctique qui se lit comme un roman.
En 1897, la Belgica quitte Anvers avec Adrien de Gerlache, jeune capitaine à sa tête, Roald Amundsen, le futur grand explorateur en second, vingt-trois hommes d'équipage inexpérimentés et indisciplinés, et une demi-tonne d'explosifs : direction le pôle Sud magnétique !
Le vieux baleinier est vite pris dans l'étau des glaces. C'est le début de treize mois de cauchemar pour le premier hivernage en Antarctique dans un isolement extrême. En proie à divers maux et à l'invasion des rats, les hommes luttent pour ne pas céder au désespoir et à la folie grâce à l'ingéniosité d'un singulier personnage, à la fois chirurgien et ethnologue, Frederick A. Cook. Celui-ci leur impose ainsi de se nourrir de viande de pingouin pour éviter le scorbut, les expose à la lumière du feu en une tentative inédite de luminothérapie et les oblige à marcher chaque jour autour du navire. La Belgica réussira-t-elle à se dégager de la banquise au terme d'une extraordinaire et épique aventure qui servira d'exemple à la NASA comme aux futures expéditions vers le pôle Sud menées par Amundsen ?
Julian Sancton est un journaliste new-yorkais qui a écrit pour plusieurs magazines (Vanity Fair, The New Yorker, Esquire) qui l'ont envoyé aux quatre coins du globe. Encensé par les journaux anglo-saxons, son livre a été traduit en plusieurs langues et sélectionné par le Times comme l'un des meilleurs de l'année 2021.
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Un livre pour agir, à destination des mécontents, des activistes, des utopistes qui veulent réussir leur révolution (petite ou grande). Toutes les astuces et stratégies non violentes qui ont prouvé leur efficacité, au centre desquelles figure l'humour. Par l'architecte secret du printemps arabe (pressenti un temps pour le prix Nobel de la paix), dont le mouvement Otpor fit chuter Milosevic.
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« Le prince ne savait plus où il en était. »
Les frères Grimm, Andersen ou Charles Perrault : les contes sont depuis plusieurs siècles associés à des hommes. Et pourtant, au XVIIe siècle qui les a vu naître, ils étaient surtout une affaire d'autrices que l'histoire littéraire a préféré oublier : Mme d'Aulnoy, Mlle L'Héritier, Catherine Bernard, la Comtesse de Murat, Mlle de la Force, pour ne citer qu'elles. Il est grand temps de lever cette injustice et de relire ces contes féministes avant l'heure : critique du mariage, promotion de la liberté et de l'autonomie des femmes, héroïnes subversives et maîtresses de leur destin sont les ingrédients de ces récits qui n'ont décidément rien à envier à ceux des conteurs. Découvrez dans ce recueil des versions moins édulcorées de Cendrillon (« Finette Cendron »), de Mulan (« Marmoisan ») et de Raiponce (« Persinette »), ainsi que deux histoires célébrant une inversion des genres (« Le Prince Rosier ») et l'amour véritable hors mariage (« Jeune & Belle »). Longue vie littéraire aux conteuses !
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Parce que le rap le vaut bien
Aimer le rap n'est pas tout lui passer. Si le rap se réduit trop souvent à du sale bien gras, il faut s'interroger : pourquoi ces représentations virilistes au sein du rapgame, et surtout pourquoi y réduire le rap tout entier ?
Avec un plaisir non dissimulé, Benjamine Weill propose une lecture critique du sale pour en comprendre les piliers - sexistes et racistes - et dénoncer les intérêts du capitalisme à le promouvoir quasi exclusivement à travers des idoles stéréotypées.
Après ce bon coup de balai dans le sale, il est enfin possible de poser un regard juste sur le rap et de célébrer la diversité et la complexité d'un mouvement culturel résolument inclusif et citoyen, toujours nourri par les principes Hip-Hop. Le rap français mérite une bientraitance politique et culturelle : cet essai en est la preuve.
Philosophe de formation, Benjamine Weill exerce dans le travail social, notamment en Seine-Saint-Denis, depuis vingt ans. Grande amatrice de rap depuis son adolescence, elle collabore à plusieurs médias spécialisés et accompagne de nombreux artistes dans leurs projets pour faire rayonner la culture Hip- Hop.
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Mieux que la compétition et la lutte pour la survie, un modèle a fait la preuve de son efficacité depuis que les sociétés animales et humaines existent : l'entraide. Cette notion est au coeur de la pensée anarchiste de Kropotkine. Pendant près de quarante ans, depuis ses premières expéditions comme anthropologue en Sibérie, il ne cessa de réfléchir à la réciprocité dans les relations sociales, utilisant la théorie de l'évolution tout en rejetant le darwinisme social. Ses idées aboutirent à un ouvrage monumental, L'Entraide, un facteur de l'évolution, dont on lira ici les pages consacrées à la persistance des réseaux de solidarité face à la violence d'État. Ces textes sont suivis d'une adresse aux jeunes les appelant à questionner le sens et l'utilité pratique des études, et à se révolter contre l'injustice sociale.
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À l'impossible nul n'est tenu !
Quand les femmes ont accédé au monde du travail, la société aurait dû permettre aux parents de dégager du temps pour leur famille dans la journée ; mais rien n'a été fait, si bien que les parents se sont retrouvés à travailler comme s'ils n'avaient pas d'enfants. Pire, jamais les injonctions à être de « bons parents » n'ont été aussi fortes, ce qui contraint les parents à élever leurs enfants comme s'ils n'avaient pas de travail.
Résultat, ô surprise : les parents craquent - et en premier lieu les mères qui supportent encore la majeure partie de la charge domestique et familiale. Rien d'anormal puisque la société leur demande l'impossible : être à la fois un parent très présent pour ses enfants et un professionnel ambitieux et investi !
Alors en attendant que les pouvoirs publics s'emparent du problème, il nous faut bricoler pour retrouver du plaisir dans notre vie ! L'enjeu est de sortir du syndrome du wonderparent - la tyrannie de la double exigence : être le meilleur parent ET un professionnel au top - afin de ne pas se sentir nul.le à la maison et/ou nul.le au travail. Vous trouverez dans ce livre tous les outils pour faire retomber la pression, arrêter de culpabiliser et surtout vous épanouir à nouveau avec vos enfants comme dans votre travail !
Diplômée d'HEC, Anne Peymirat a été consultante chez Accenture avant de devenir coach parentale certifiée. Mère de quatre enfants, elle applique ses propres conseils afin de ne pas céder à ce qu'elle a appelé le « syndrome du wonderparent ».
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Elle collectionnait les amants et les bijoux. On l'appelait « la Divine ». Wilde était fou d'elle, Victor Hugo et Gustave Doré aussi. Freud et Carson McCullers l'admiraient. Cocteau inventa pour elle l'expression « monstre sacré ». Actrice, peintre, sculptrice, Sarah Bernhardt (1844-1923) fut l'une des plus grandes artistes du XIXe et du début du XXe siècle. En s'appuyant sur des archives et des témoignages inédits, Claudette Joannis, spécialiste reconnue de Sarah Bernhardt, lui consacre un portrait intime et raconte la vie exigeante, le courage, les folies et les scandales de cette première star internationale.
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"Pour empêcher qu'on tuât, elle tuait", disait d'elle Clémenceau, qui la soutint toujours. Voici la Commune selon Louise Michel, qui participa, armes à la main, à de nombreux combats, du début de l'insurrection jusqu'à la terrible Semaine sanglante de mai 1871. "Oui, écrira-t-elle dans ses Mémoires, j'aime le canon, l'odeur de la poudre, la mitraille dans l'air, mais surtout je suis éprise de la révolution." Son récit historique possède un indéniable souffle littéraire. Documents, paroles d'anonymes, témoignage direct et analyse politique s'y entremêlent pour donner corps aux émotions et à l'adrénaline qui parcourent toute personne projetée au coeur de l'Histoire en train de se faire.
Le livre de Louise Michel est suivi, pour la présente édition, d'un texte inédit où Emma Goldman, qui l'avait rencontrée en 1895, stigmatise la violence des attaques que cette femme hors du commun dut subir de la part d'hommes qui s'en prirent à sa sexualité pour masquer l'importance de son action politique.
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Il est possible de vivre heureux. Nous pouvons encore bâtir cette société-là. Simone Weil en indique le chemin dans ces pages qui veulent redonner un horizon à ceux qui sont à terre, insuffler des forces, une énergie pour se relever. "Les Besoins de l'âme", ce sont nos "communs", quatorze valeurs vitales, dont les plus précieuses sont le besoin de vérité et la liberté intellectuelle, qui renvoient à deux exigences actuelles : je ne veux pas qu'on m'impose ce que je dois penser, et je veux que les informations qui circulent soient fiables. De là découlent des questions qui traversent toutes les sociétés qui visent à l'égalité. Ai-je des droits ou des obligations ? Peut-on tout dire ? Comment lutter contre l'impunité des puissants ? Obéir, est-ce le début de la servitude ?
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« Considérez la direction de votre esprit à n'importe quel moment : vous trouverez qu'il s'occupe de ce qui est, mais en vue surtout de ce qui va être. » Telle est la conscience selon Bergson, qui lui associe l'intuition et la mémoire. On trouvera dans ce recueil les pages les plus significatives de son oeuvre sur ce thème : le premier chapitre de l'Essai sur les données immédiates de la conscience, le chapitre 3 du Rire, et bien sûr l'essai sur « La conscience et la vie » - trois textes incontournables d'un des plus grands philosophes du XXe siècle.
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Stefan Zweig avait le génie pour saisir, dans des portraits qui figurent parmi ses oeuvres les plus saisissantes, la vérité intime des grands esprits, des romanciers et poètes, et des puissants de ce monde. Son "Nietzsche" ne fait pas exception, qui raconte une soif absolue de vérité, d'indépendance, de poésie, mais aussi la défaite, celle du corps malade du philosophe, celle aussi de la raison, devenue l'esclave de la folie et la victime d'une forme de burn-out. Qu'on ne s'y trompe pas cependant, ce Nietzsche par Zweig est aussi, en creux, un Zweig par Nietzsche : hypercréativité, esprit de liberté, lutte contre l'effondrement.
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"Pourquoi suis-je anarchiste ? Parce que je ne peux pas faire autrement ; je ne peux pas être malhonnête envers moi-même ; les conditions d'existence m'oppressent ; et je dois faire quelque chose avec ma tête." Comme Simone Weil, elle souffrit dans son corps, vécut ses idées sans compromis, écrivit sans relâche, plaça l'exigence de vérité au-dessus de tout, et mourut jeune. Éclipsée dans la mémoire collective par Emma Goldman, Voltairine de Cleyre (1866-1912) fut pourtant l'une des femmes anarchistes les plus brillantes des États-Unis. Ardente combattante de la domination masculine, plus littéraire mais tout aussi radicale et sociale que Goldman, elle est l'autrice de nombreux textes et poèmes dont les plus importants sont réunis ici : "Pourquoi je suis anarchiste", "Action directe", "L'esclavage sexuel", "L'idée dominante" et "L'anarchisme dans la littérature".
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On parle toujours de l'abondante correspondance de Wolfgang Amadeus Mozart en oubliant celle de Leopold, ce père si important dans l 'épanouissement de son talent. On parle toujours des plaisanteries scatologiques du fils en oubliant son véritable humour, celui d'un artiste très conscient de sa supériorité : il l'exerçait pour peindre la société de son temps (aristocrates, musiciens, élèves...) ou pour décrire les inconvénients des voyages, comme le faisait aussi Leopold. Ce sont là autant de sautes d'humour vachardes sur les ridicules du XVIIIe siècle. Elles se savourent comme un opéra bouffe et nous offrent une approche biographique originale sur un génie qui n'a pas fini de nous étonner.
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