Pourquoi les espèces humaines ont-elles évolué ? Pourquoi Homo erectus est-il sorti d'Afrique ? Qui a inventé le feu ? Quand et comment Sapiens a-t-il conquis la Terre ? Pourquoi Néandertal a-t-il disparu ? Comment étaient organisées les sociétés préhistoriques ? Continuons-nous à évoluer ? Aurait-on pu rester à la préhistoire ?
Il y a 5 000 ans, nous vivions encore dans la préhistoire. Ainsi, nous autres Homo sapiens avons émergé en Afrique il y a quelque 300 000 ans et avons passé plus de 98 % de notre existence vivant de chasse, de pêche et de cueillette.
En 100 questions très claires et en s'appuyant sur les recherches les plus récentes, Jean-Paul Demoule raconte l'épopée des nombreuses espèces humaines successives, dont on ne cesse de trouver de nouvelles, leurs migrations et leurs mélanges. Il décrit leurs inventions - les outils, le feu, l'art, l'alcool, les armes, la roue, etc. -, leur alimentation, leurs vêtements, leur sexualité, leurs croyances, leurs maladies, leurs organisations sociales, leurs chefs. Enfin, il explique comment les humains, en inventant l'agriculture au Néolithique, firent exploser leur nombre, débouchèrent sur les premières villes et l'écriture, inaugurant un nouveau mode de vie dont l'Anthropocène n'est que l'une des nombreuses répercussions.
25 prêts - 3650 jours
Du monumental vase de Vix jusqu'au disque de Nebra, la plus ancienne carte du ciel connue, en passant par les premiers temples de l'humanité en Turquie ou les tunnels regorgeant d'offrandes de Teotihuacán, jamais autant de trésors n'ont été découverts que ces dernières décennies. C'est cette richesse fascinante que Jean-Paul Demoule entend explorer avec nous dans cet ouvrage.
Mais au-delà de l'or des Scythes ou des pharaons, des « trésors » non moins estimables sont là, sous nos pieds, insignifiants en apparence - comme ce brin de cannabis trouvé dans une tombe chinoise - sinon invisibles - telle la séquence ADN qui a caractérisé l'homme de Denisova.
Fervent défenseur de l'archéologie préventive, l'auteur montre qu'il importe de sauver ces merveilles, mais aussi de les penser pour que des mots comme « civilisation », « peuple », « culture » ou « migration » ne soient pas détournés. Fouiller, c'est plus que jamais éclairer notre avenir.
25 prêts - 3650 jours
Une histoire sur deux millions d'années, du paléolithique jusqu'à nos jours, des grands courants migratoires humains qui ont contribué au brassage des peuples sur notre planète. Pistant les traces laissées par l'homme sur les routes hypothétiques des invasions présumées, Jean-Paul Demoule mène l'enquête, tordant le cou au passage à nombre d'idées reçues. Un essai décapant en un temps où il apparaît plus que jamais nécessaire d'affirmer haut et fort que, depuis l'aube de l'humanité, nous avons toujours été des migrants.
30 prêts - 2555 jours
Pendant 99 % de l'histoire de l'humanité, l'homme a été chasseur, pêcheur et cueilleur. Il y a douze mille ans seulement, les humains, au nombre de quelques centaines de milliers, nomadisaient par petits groupes. Aujourd'hui, sept et bientôt neuf milliards d'humains, presque tous sédentaires, peuplent la terre. Leurs sociétés sont très inégalitaires, puisque environ 1 % d'entre eux possèdent la moitié de la richesse mondiale.
Comment en est-on arrivé là ? Que s'est-il passé pendant ces dix millénaires trop souvent absents de notre culture générale et médiatique ? Une invention décisive, en plusieurs endroits du globe : celle de l'agriculture et de l'élevage. Grâce à elle, la population humaine va s'accroître rapidement, prendre le contrôle de la planète et éliminer un grand nombre d'espèces biologiques. L'expansion démographique continue débouche sur la création des premières villes, des premiers États et, finalement, de l'écriture et de l'histoire...
Cette « révolution néolithique » a vu se mettre en place des pratiques qui ont toujours cours aujourd'hui : le travail, la guerre ou encore la religion. Jean-Paul Demoule les explore avec la hauteur de vue de l'archéologue et la passion de transmettre. Il bouscule notre vision de la préhistoire et notre rapport au monde tel qu'il est, ou tel qu'il pourrait être.
30 prêts - 60 mois
L'homme s'est représenté lui-même à partir du moment où il est apparu sous sa forme moderne - celle d'Homo sapiens sapiens - même si l'on discute aussi sur la possibilité et l'interprétation d'éventuelles figurations plus anciennes. Et, pour l'essentiel,
l'homme a d'abord représenté la femme. Mais ces images sont longtemps restées minoritaires : ce sont surtout les animaux qui ont été figurés, dans une grande variété de formes et de styles, comme si la représentation humaine devait rester exceptionnelle, ou périphérique.
Puis la révolution néolithique, qui voit l'agriculture et l'élevage remplacer la chasse et la pêche, s'accompagne d'une révolution des images au sein de laquelle la figure humaine se libère en Orient des canons inexpressifs et codés du Paléolithique à travers des figurines d'argile cuite, mais aussi de pierre et de chaux.
Ces premières figurations humaines, étudiées par Jean-Paul Demoule, apparaissent dans un espace cohérent et homogène, celui du Proche-Orient, de la Méditerranée et de l'Europe, qui évoluent de concert tout au long de ces trente millénaires.
C'est l'histoire globale de la figure que raconte cet ouvrage : il retrace la naissance et l'évolution de la figure humaine aux périodes préhistoriques et protohistoriques, jusqu'à l'apparition de l'esthétique propre aux organisations étatiques.
25 prêts - 3650 jours
Ouvrage couronné par l'Académie française
Mais où sont passés les Indo-Européens ? On les a vus passer par ici, depuis les steppes de Russie, ou par là, depuis celles de Turquie. Certains les ont même vus venir du Grand Nord. Mais qui sont les Indo-Européens ? Nos ancêtres, en principe, à nous les Européens, un petit peuple conquérant qui, il y a des millénaires, aurait pris le contrôle de l'Europe et d'une partie de l'Asie jusqu'à l'Iran et l'Inde, partout où, aujourd'hui, on parle des langues indo-européennes (langues romanes comme le français, slaves comme le russe, germaniques comme l'allemand, et aussi indiennes, iraniennes, celtiques, baltes, sans compter l'arménien, l'albanais ou le grec). Et depuis que les Européens ont pris possession d'une grande partie du globe, c'est presque partout que l'on parle des langues indo-européennes – sauf là où règne l'arabe ou le chinois.
Mais les Indo-Européens ont-ils vraiment existé ? Est-ce une vérité scientifique, ou au contraire un mythe d'origine, celui des Européens, qui les dispenserait de devoir emprunter le leur aux Juifs, à la Bible ?
Jean-Paul Demoule propose dans ce livre iconoclaste de s'attaquer à la racine du mythe, à sa construction obligée, à ses détournements aussi, comme la sinistre idéologie aryenne du nazisme, qui vit encore. Il montre que l'archéologie la plus moderne ne valide aucune des hypothèses proposées sur les routes de ces invasions présumées, pas plus que les données les plus récentes de la linguistique, de la biologie ou de la mythologie. Pour expliquer les ressemblances entre ces langues, d'autres modèles restent à construire, bien plus complexes, mais infiniment plus intéressants.
Pour aller plus loin : jeanpauldemoule.com
30 prêts - 2190 jours
À quoi sert l'archéologie ? L'archéologie fascine, elle fait partie des métiers que voudraient faire les enfants, vœu que très peu réaliseront. Les enfants en effet s'interrogent sur l'origine, et tous les adultes à leur tour. Car, au fond, la question est bien celle de l'origine : du monde, des humains, de chaque société. Et pour élucider ces mystères, depuis le XIXe siècle, l'archéologie s'est progressivement substituée aux religions et assure une mission essentielle : elle construit le passé, le territoire et la légitimité historique de chaque nation.
C'est ce que montre cet essai, où l'archéologue engagé Jean-Paul Demoule rend compte de la double fonction de cette discipline, scientifique d'une part, idéologique de l'autre, avec des frontières qui parfois se brouillent. En témoignent les débats français autour de l'enseignement de l'histoire et du " roman national ", puis de l'" identité nationale ", marqués depuis les années 2000 par l'irruption des " Gaulois ", des " Barbares " et des manipulations de l'histoire dans les discours politiques et médiatiques.
En témoignent également, dans de nombreux pays, les manières dont agit l'archéologie, tant dans ses interprétations historiques que dans sa mise en œuvre sur le terrain, avec sa contamination croissante par les idéologies ultralibérales de la concurrence généralisée. On verra ainsi, dans le cas spécifique de la France, comment la convergence des intérêts économiques à court terme, de l'idéologie ultralibérale mais aussi des incuries administratives met en danger le sauvetage d'un patrimoine archéologique gravement menacé.
30 prêts - 2190 jours
Du monumental vase de Vix jusqu'au disque de Nebra, la plus ancienne carte du ciel connue, en passant par les premiers temples de l'humanité en Turquie ou les tunnels regorgeant d'offrandes de Teotihuacan, jamais autant de trésors n'ont été découverts que ces dernières décennies. C'est cette richesse fascinante que Jean-Paul Demoule entend explorer avec nous dans cet ouvrage.
Mais au-delà de l'or des Scythes ou des pharaons, des « trésors » non moins estimables sont là, sous nos pieds, insignifiants en apparence - comme ce brin de cannabis trouvé dans une tombe chinoise - si ce n'est invisibles - la séquence ADN qui a caractérisé l'homme de Denisova.
Fervent défenseur de l'archéologie préventive, l'auteur montre qu'il importe de les sauver, mais aussi de les penser pour que des mots comme « civilisation », « peuple », « culture » ou « migration » ne soient pas détournés. Fouiller, c'est plus que jamais éclairer notre avenir.
25 prêts - 3650 jours
Il y a environ dix millénaires, l'histoire de l'humanité connut une véritable révolution : dans différentes régions du monde, de petits groupes de chasseurs-cueilleurs entreprirent de domestiquer certains animaux - chien, mouton, chèvre, buffle, lama... - et de cultiver certaines plantes - blé, orge, lentille, mil, riz... de la biologie, de la philosophie, de la science des religions,
de l'histoire et de la psychanalyse, quelques-unes des innombrables interrogations que fait surgir la question du "mourir".
25 prêts - 3650 jours
Quand l'archéologie décape toutes les idées reçues et nous raconte la vraie histoire de France.
C'est fou le nombre de clichés que nous continuons de véhiculer à propos de l'histoire de France. Ainsi : nos ancêtres sont les Gaulois, d'ailleurs de pittoresques barbares – heureusement que les Romains sont passés par là... Le Moyen Âge n'est qu'une sorte de longue nuit où il ne se serait pas passé grand-chose... Clovis fut un acteur majeur de l'identité de la France... Les Barbares nous ont envahis... Et tout à l'avenant.
Or, comme le dévoile ce livre avec maestria, les fouilles menées surtout depuis vingt ans nous prouvent à quel point le passé sur le territoire que nous appelons France n'a rien à voir avec ce que continuent de raconter les leçons encore préconisées par l'Éducation nationale. Des leçons dépassées qui traduisent chez nombre de responsables (de programmes, voire politiques) " au mieux une inculture, au pire des a priori idéologiques accablants ". Regrettable : la richesse de ces fouilles qui apparaissent ici dans toute leur multiplicité n'est montrée que ponctuellement à la télévision, à destination du grand public, et leur sens profond n'est pas toujours explicité.
C'est donc à un décapage vigoureux que se livre – non sans humour – Jean-Paul Demoule, qui fut pendant plus de dix ans à la tête de l'institut majeur de fouilles en activité sur notre territoire, l'Inrap, invitant son lecteur à reprendre le fil de l'histoire réelle, tout en en dénonçant les manipulations. Audacieux, il évoque d'emblée la préhistoire quand les premiers immigrants semblent déjà arrivés d'Afrique sur notre territoire actuel (vers Béziers). Ensuite, nous allons rencontrer les Homo sapiens, créateurs d'art dans les grottes ornées il y a 35 000 ans, les " colons du Moyen-Orient " apportant l'agriculture et l'élevage il y a environ 7 800 ans, les Gaulois experts dans la métallurgie du fer, les Romains et... des Barbares moins barbares que leur nom ne continue de le suggérer ! Sans oublier de revisiter les modes de vie plus proches de nous, au Moyen Âge, à la Renaissance et jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, selon les couches de la société et ses membres très divers.
L'archéologie nous raconte une nouvelle histoire de France – concrète et argumentée – et non sa reconstruction idéologique poussiéreuse, voire dangereuse, remontant au XIXe siècle et à la IIIe République.
30 prêts - 2190 jours
Il y a environ vingt-cinq siècles, vivaient - au nord des Alpes, entre le Bassin parisien et l'Europe centrale - des peuples que les Romains appelaient « Gaulois », et que les Grecs nommaient « Celtes ». Romains et Grecs, qui se croyaient « civilisés », les jugeaient sales, brutaux et ivrognes, c'est-à-dire barbares. En réalité, bien avant la conquête romaine, ces peuples formaient déjà une vraie civilisation - même s'ils n'ont laissé aucune trace écrite. Grâce aux archéologues, nous pouvons connaître ce qu'étaient leurs manières de vivre, leurs objets quotidiens, leur art et leurs coutumes.
Dès 10 ans.
« En savoir plus », le savoir des meilleurs spécialistes dans les domaines les plus variés : histoire, sciences, culture et civilisation, vie quotidienne... Pour le plaisir de connaître ou pour préparer un exposé, cette collection encyclopédique offre une documentation complète, actuelle et vivante.
9999 prêts - 3650 jours
Nous entraîne dans un passionnant tour de France archéologique, qui débute avec l'apparition en Auvergne de l'Homo erectus (un million d'années avant notre ère) et se termine au bord de la Méditerranée, lorsque la conquête de la Gaule par les Romains est
30 prêts - 3650 jours
Il y a près de 2 millions d'années, une première vague d'"immigrants" venus d'Afrique peuple le continent du Caucase à l'Atlantique. Une deuxième vague invente l'art rupestre et partage une culture qui embrasse, elle aussi, l'Europe. Il y a 8 000 ans, une révolution venue du Proche-Orient, le Néolithique, implante l'agriculture et les premiers villages.
Puis naît, à l'âge du Bronze, la civilisation urbaine, qui couvre progressivement tout le territoire. Sur les vestiges de l'Empire romain s'impose l'ordre féodal. Enfin, l'histoire européenne oscille entre des empires vastes mais provisoires et l'éparpillement d'unités territoriales souveraines.
Seule l'archéologie peut faire revivre, à partir des archives du sol, cette longue mémoire, entre vie quotidienne, pratiques religieuses et relations avec l'environnement. Quinze archéologues européens se sont associés autour d'un même projet : contribuer, par une meilleure compréhension de la préhistoire et de l'histoire des Européens, à une plus juste perception de leur destin collectif.
25 prêts - 3650 jours
Ce guide présente des notions générales sur le travail archéologique tel qu'il se pratique actuellement, tout en le replaçant dans son histoire et au sein des sciences humaines. Les auteurs s'adressent particulièrement à des étudiants, mais tous ceux qui souhaitent s'initier à l'archéologie apprécieront également ce guide.
Grâce à lui, les étudiants de licence peuvent bénéficier d'un manuel adapté à leurs besoins. Cette nouvelle édition, actualisée, augmentée et illustrée, accorde une place importante aux renouvellements de la recherche archéologique de ces dernières années.
Bénéficiant de l'expérience de quatre enseignants-chercheurs, archéologues et pédagogues reconnus et très complémentaires, ce manuel allie rigueur scientifique et accessibilité.
30 prêts - 2190 jours
Philosophes, historiens, sociologues, psychanalystes, anthropologues et archéologues, de plusieurs pays, examinent les différents aspects de la relation de l'homme à son passé et les enjeux contemporains de l'archéologie.
Quels sont les apports de l'archéologie aux interrogations les plus récentes sur la trajectoire de l'humanité, son évolution biologique et cognitive, ses relations à l'environnement, l'histoire de ses techniques de production comme de destruction ? L'archéologie offre-t-elle des outils pour renouveler l'approche des notions de communauté et de territoire ? Peut-elle éclairer la réflexion sur les catégories de peuple et de nation ? Permet-elle de mieux appré-hender les passions nationalistes et les intégrismes ? Quelle peut être la contribution de la connaissance des sociétés anciennes à la vie dans la Cité ? Comment se nouent les liens entre l'archéologie et les autres disciplines ?
30 prêts - 2190 jours
On connaît le jeu du « cadavre exquis », qui consiste à faire un dessin, puis à plier la feuille en n'en laissant dépasser qu'un fragment, à partir duquel le joueur suivant improvise son propre dessin... Les quatre auteurs de ce livre, en reprenant le principe, l'ont adapté à la description d'une planète plausible et des diverses formes de vie susceptibles d'y apparaître et de s'y développer. Quelle espèce extraterrestre le hasard et les lois de l'évolution vont-ils produire ? Cette « exquise planète », inventée en restant autant que faire se peut dans le champ du possible par un astrophysicien, un paléontologue et un archéologue, ne ressemble guère à la Terre, si ce n'est par l'inépuisable inventivité de ses espèces, et pourtant elle aurait pu être la nôtre si le hasard en avait décidé ainsi. Et elle prend un relief bien particulier quand un écrivain de science-fiction, Pierre Bordage, prenant le relais final, vient enrichir les descriptions scientifiques et factuelles d'un souffle épique qui efface la frontière commodément tracée entre science et fiction. Pierre Bordage, auteur de science-fiction, s'intéresse à tous les genres du domaine. Spécialiste du « space opera » (Les Guerriers du silence, Abzalon, Griots célestes), il ne néglige ni le « postapocalyptique » (Le Feu de Dieu), ni la « fantasy historique » (L'Enjomineur), l'anticipation (Wang), l'uchronie (cycle de Ceux qui sauront) ou la « fantaisie » (Les Fables de l'Humpur). Jean-Paul Demoule, archéologue, professeur de protohistoire européenne à l'université Paris-I et membre de l'Institut universitaire de France, a présidé l'Institut national de recherches archéologiques préventives (INRAP). Il est l'auteur de nombreux ouvrages, dont On a retrouvé l'histoire de France. Roland Lehoucq, astrophysicien au CEA dans le domaine de la topologie cosmique, s'est fait une spécialité de vulgariser la science à partir d'ouvrages de fiction (La Science-Fiction sous les feux de la science, D'où viennent les pouvoirs de Superman ?). Il tient la rubrique « Scientifiction » dans la revue Bifrost. Jean-Sébastien Steyer, paléontologue au CNRS rattaché au Muséum national d'histoire naturelle, signe des rubriques liant la science et l'imaginaire dans les revues Pour la science et Espèces. Il est l'auteur de La Terre avant les dinosaures.
prêts illimités - durée illimitée