La Chine n'est pas un modèle social cependant son extraordinaire réveil économique interpelle toutes les entreprises occidentales sur leurs techniques de management. Les auteurs mettent en avant DIX POINTS CARACTERISANT LE BUSINESS EN CHINE et pour chacun d'eux en tirent UNE REFLEXION UTILE AU SYSTEME DE MANAGEMENT DES EUROPEENS. Ainsi les auteurs réfléchissent sur : la planification, le dépassement des contradictions, les défis à se lancer, le pilotage, la tradition etc...
COMMENT RETABLIR LA CONFIANCE DANS NOS ENTREPRISES ? Hervé Sérieyx avec son sens de la synthèse répond aux questions à se poser sur ce sujet. Les institutions sont-elles encore capable de susciter la confiance ? Comment rétablir un climat de confiance ? La confiance a-t-elle évolué ? Comment remettre cet indispensable "carburant" dans nos institutions
Après son ouvrage sur la nécessité de la confiance dans les sociétés, Hervé Serieyx s'est rapproché d'un spécialiste des outils à mettre en oeuvre pour restaurer la confiance en entreprise, Jean Luc Fallou. Ensemble, ils détaillent et commentent les moyens existants. Ainsi par exemple, il faut développer un management inducteur de confiance (cohérent, compétent avec un contrat clair), il faut également promouvoir des relations interpersonnelles fortes, il faut enfin que le comportement du chef soit exemplaire... Au moyen de grilles et de checks listes déjà utilisées dans de nombreuses entreprises, les auteurs enrichissent leur livre et le rendent plus concret.
Stéphane Hessel avec "Indignez-vous!" a dépassé les scores des meilleurs best sellers. Mais l'indignation ne suffit pas ; encore faut-il agir pour tenter de corriger les situations inacceptables. Et justement, affirment les auteurs, la France bouge. Grâce aux facilités du Web, DE NOMBREUSES INITIATIVES SONT PRISES PAR DES CITOYENS ANONYMES, pour redynamiser la société et l'économie. L'objet de ce livre est de montrer concrètement au lecteur, à partir d'exemples réels, COMMENT IL PEUT DEVENIR DAVANTAGE ACTEUR AU NIVEAU LOCAL, DANS SON ENTOURAGE, DANS SON TRAVAIL etc.. En fait, il ne faut plus seulement s'indigner mais agir.
L'effet Gulliver frappe : la France, malgré la richesse de ses ressources et de ses talents, est aujourd'hui durement touchée. Trop grand chez les Lilliputiens, trop petit chez les géants, le héros de Swift ne cessait d'être inadapté aux pays changeants qu'il traversait et d'en payer le prix fort. L'effet Gulliver surgit de ce décalage entre un monde - en changement rapide - et le relatif immobilisme de nos institutions, de nos organisations, de nos pratiques politiques, économiques, éducatives et sociales : il produit chômage, désespérance suburbaine, exclusions, et fragilise de plus en plus nos systèmes de protection. Dans ce livre vif, et nourri d'exemples abondants, Hervé Sérieyx nous entraîne dans un tour de France des immobilismes en soulignant combien ils auront alourdi chez nous le coût de la crise. Mais l'effet Gulliver, ça se corrige : ce décalage, entre un monde tourbillonnaire et des institutions figées, n'est pas irrémédiable. Dans un contexte de plus en plus troublé et insaisissable, seules survivront les organisations humaines capables d'inventer de nouvelles solidarités, et de se battre contre les idées reçues. Cette bataille, déjà bien engagée sur le terrain, ne pourra être remportée sans le soutien actif des décideurs institutionnels. Pour l'auteur, ce sera l'enjeu majeur du débat politique des prochaines années.
900 000 jeunes Français qui ne cherchent même plus d'emploi, une perte de compétitivité continue, des pans entiers de territoire en déshérence... Sous le choc du réel, la France se réveille en sursaut.
Pas question toutefois de céder au déclinisme : partout, au sein de la société française, s'inventent des solutions neuves, s'expérimentent des pratiques collectives nouvelles, et l'on n'a plus peur de s'affranchir de règles et d'habitudes périmées. Même des structures trop longtemps figées dans leur conservatisme, comme l'État, le syndicalisme ou l'Éducation nationale, redécouvrent l'innovation et le mouvement.
A l'aide de nombreux exemples et en s'appuyant sur les outils de la pensée complexe, sur la notion de confiance ou celle de pouvoir latéral, Hervé Sérieyx multiplie les repères pour aider chacun à participer à l'invention du monde qui vient.
Pour les entreprises, la confiance devient le carburant vital de la performance.
La conjonction d'une mondialisation de la concurrence de plus en plus imprévisible qui impose des réactions rapides, de la révolution numérique qui périme à toute allure des secteurs d'activité, métiers et emplois, des nouveaux modes de production de biens et de services qui multiplient les communications horizontales aux dépens des seules relations top-down, tout cela suppose que l'entreprise devienne sans cesse plus agile, s'adapte en temps réel, innove en permanence et passe d'un fonctionnement en silos à un fonctionnement transversal : seule une confiance fortifiée entre ses diverses parties prenantes peut assurer, au plus faible coût, cette indispensable et nouvelle conception de la performance.
Partant de nombreux exemples d'entreprises canadiennes et européennes, les deux auteurs - eux-mêmes issus du monde de l'entreprise - proposent des outils simples pour permettre, d'une part, d'élever le niveau de confiance interpersonnelle entre tous ceux qui participent en interne à la production de la performance et, d'autre part, de rendre l'organisation même de l'entreprise créatrice de confiance vis-à-vis de l'ensemble de ses partenaires.
C'est concret, pratique et nécessaire.
La « machine à décider » des organisations publiques ou privées tend à se gripper de plus en plus. Partout, le pouvoir vertical est remis en cause, quelle que soit la légitimité de celui qui l'exerce, au profit de la participation des acteurs de terrain aux décisions. Le basculement du hiérarchique vers le collaboratif est une tendance de fond, visible et inéluctable.
S'appuyant sur d'importants matériaux empiriques et des échanges réguliers avec des dirigeants d'entreprise, DRH et syndicalistes, Hervé Sérieyx et Michel Vakaloulis font émerger les traits d'une nouvelle « gouvernance partagée », à l'image des nouvelles pratiques dans le monde associatif (l'évolution du bénévolat), éducatif (l'accompagnement « de pair à pair »), de l'insertion (projets territoriaux multi-acteurs) ou de l'économie (coopération pour le développement d'un territoire).
Ils montrent que l'intelligence collective, l'autonomie des acteurs, l'écoute, le goût de l'innovation et le souci de contribuer au progrès du bien commun favorisent l'émergence d'organisations originales à l'efficacité durable. Bien plus qu'une remise en cause des pratiques habituelles du management, cet ouvrage est un plaidoyer, nourri d'exemples convaincants, en faveur d'une transformation sociétale et politique fondée sur la co-construction.